Cette performance est née de l'envie de construire un dialogue, et donc, la question du dialogue lui même s'est posée.

À deux voix, nous évoquons une communication non verbale: les effets chimiques produits par les phéromones.

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Les phéromones étant transportés par la salive, le postillon fut notre point de départ. La présence des notions d'émetteur et de récepteur nous rappels à l'acte de procréation.

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Développant, d'une part, un esprit didactique en s'appuyant sur des sources scientifiques, et d'autre part, l'idée d'un échange amoureux, un décalage absurde s'opère entre la conversation et l'action.

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Le thème du postillon nous permet d'aborder à la fois la question de la nourriture (ex: une boulette de pain contenant un message que les détenus se lançaient pour communiquer), de la relation amoureuse, et de l'échange verbal.
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